C’est avec le cœur brisé que la famille désire informer le public du décès de Robert Salesse, domicilié à Sherbrooke au Québec. Le décès est survenu à la résidence de sa sœur Darlene à Bathurst comme ce fut ses derniers souhaits.

Né à Bathurst, NB, Robert fut l’ainé de la famille des défunts Edgar et Célina (Vienneau) Salesse et est survécu pas son épouse de 55 ans, Paulette Raiche, son fils Pierre qui réside au Québec ainsi que deux petites filles; Daphnée et Rosalie de Ste-Catherine de la Jacques Cartier au Québec.

La famille fut d’une importance capitale pour Robert. Il manquera beaucoup à ses quatre sœurs; Francine Imbeault (Alexandre Doiron), Leah Doucet (Gilbert), Darlene Labonville (John) et Lisa Guignard (Eugène), plusieurs nièces et grande nièces, neveux et grands neveux incluant les membres de la famille Raiche.

À part ses parents, deux frères l’ont précédé dans la tombe, David (1976) et Maurice (2021), ainsi qu’un neveu Mark Anthony (2015) et une jeune nièce Micheline (1975).

Un merci tout particulier aux Dr Marc Aucoin, Dr Mathieu Morrison, Dre Marie-Andrée Arseneau et Dre Marie-Soleil Lamarre ainsi que le personnel infirmier du programme de l’Extra Mural pour leurs soins et leur compassion envers Robert et tous les autres membres du personnel de l’hôpital régional Chaleur que Robert a rencontré.

Robert a vécu une vie bien remplie, commençant avec son premier emploi en 1965 en tant que pompiste pour le garage W.J. Cormier (Percy Cormier). Il était payé 40 sous de l’heure. Cependant, il n’aura pas à attendre longtemps avant qu’il décroche un emploi chez La Parelle Lumber Co. pour y travailler en tant qu’opérateur de chaudière aux côtés de son père qui lui était ingénieur stationnaire.

En 1967, Robert ira travailler avec son père à l’école des Métiers de Bathurst et commencera des cours du soir afin de devenir ingénieur stationnaire, obtenant son permis de Classe 4 avec le but de devenir un ingénieur stationnaire de Classe 1.

En 1968, il est allé travailler pour la Brunswick Mines encore en tant qu’opérateur de chaudière cependant en 1970, il se retrouva à Nackawik au NB en tant qu’ingénieur stationnaire d’où il poursuivra ses études afin d’obtenir ses classes 3 et 2. En 1973, Robert quitta le NB pour aller travailler à Port Cartier, sur la côte nord au Québec pour le compte de Rayonier Québec. Il y continua alors ses études et y obtient finalement sa classe 1. En 1979, il fera un bond du côté du continent africain en se rendant à Bethioua, en Algérie. Ses tâches consistaient, en autres, à former des stagiaires en ingénierie de chaudières pour le compte de ElPaso Natural Gas Co.

En 1983, il retourna au pays, à Bathurst, pour prendre un poste chez Brunswick Mines en tant que superviseur à la section des chaudières. Il retournera en Algérie en 1985 pour y travailler chez Pullman Kellogg afin d’y développer du matériel de formation pour des ingénieurs stationnaires en formation. En 1986, il retourne à Bathurst, prenant une sabbatique d’un an avant de devenir entrepreneur en tant que livreur pour la compagnie de transport Cabano d’Anjou, secteur Bathurst. En 1990, Robert se rendit à Granby au Québec pour y travailler comme opérateur de chaudière pour le compte de Vapeur et Combustion Bromont.

Mais, en 1992, un rêve se réalisa, lorsqu’il fut choisi comme ingénieur en chef pour l’Université Bishop à Sherbrooke, au Québec. En plus de ses responsabilités à l’université, il acquiert des logements à louer jusqu’à sa retraite en 2008.

À chaque occasion qui se présentait Robert se rendait auprès de sa famille et ses amis. Il adorait voyager, et on peut certainement dire qu’il aura voyager un peu partout dans le monde avec son épouse Paulette.

La famille accueillera famille et amis/es au salon funéraire Elhatton le mercredi 28 septembre 2022 à compter de 14h jusqu’à 16h ainsi qu’à 19h jusqu’à 21h, jeudi le 29 septembre 2022 à compter de 9h jusqu’au départ pour les funérailles. Les funérailles auront lieu jeudi le 29 septembre 2022 à compter de 11h en l’église Notre-Dame-du-Rosaire à Bathurst au NB.